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Marge en restauration : quelles stratégies pour être rentable en 2026 ?

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La marge est souvent le sujet qui fâche, mais qui conditionne la durabilité (et la survie) d’un établissement. 

En 2026, la pression est partout : matières premières en hausse, énergie toujours plus chère, loyers qui grimpent et pénurie de personnel qui frappe le secteur depuis une bonne décennie. Ajoutez à ça une concurrence saturée (des restaurants, certes, mais aussi boulangeries, GMS et stations-service…) et vous obtenez une équation où chaque point de marge compte.

Même avec des salles pleines, de nombreux établissements peinent à dégager plus de 2 à 6% de marge nette. Ce niveau de rentabilité, déjà fragile, devient intenable si on s’en tient aux anciens réflexes.

Alors, comment sécuriser vos marges en 2026 sans dégrader l’expérience client ? On a rassemblé l’essentiel à savoir pour défendre votre rentabilité cette année.

Maximiser sa marge en restauration : quels obstacles en 2026 ?

Des coûts qui grimpent : matières premières et charges en hausse

Le problème n’est pas uniquement lié à la conjoncture actuelle. Depuis plusieurs années, les restaurateurs voient leurs charges grimper sans répit. Matières premières (+16%), énergie (+25 à 30% depuis 2021), loyers (+17%) : selon un récent rapport Gira Conseil, chacun de ces postes pèse un peu plus lourd sur la rentabilité des établissements. 

À cela s’ajoute une pénurie de personnel qui dure depuis 15 ans et rend le recrutement plus coûteux. Sans oublier un tiers des établissements encore coincés avec le remboursement de leur PGE. 

Autant de poids qui réduisent la marge nette, avant même d’avoir servi un client.

Une concurrence élargie qui grignote la fréquentation

La France compte aujourd’hui un restaurant pour 170 habitants. C’est deux fois plus qu’il y a 20 ans et largement au-dessus des États-Unis (1 pour 540). 

Et cette saturation a une particularité : elle ne vient pas seulement des restaurants traditionnels. Sur les 410 000 points de vente où l’on peut se nourrir hors domicile, seuls 220 000 offrent un service à table. Les 190 000 autres (boulangeries, GMS, stations-service, commerces de proximité) ont capté 23 milliards d’euros en 2024. Un chiffre qui n’a pas « créé » de marché supplémentaire : il a été pris directement aux restaurants, cafés et brasseries

Chaque acteur se positionne sur la même dépense du consommateur, réduisant mécaniquement votre part de marché.

Des clients plus exigeants face aux prix et à la qualité du service

Face à cette abondance de choix, les clients en demandent davantage : de la qualité, de la rapidité, une expérience agréable et personnalisée. 

Mais dans le même temps, leur sensibilité au prix reste très forte. Ils arbitrent plus vite, comparent en permanence et n’hésitent pas à zapper vers une alternative perçue comme plus pratique ou moins chère.

Le décalage entre ce qu’ils attendent et ce qu’ils veulent payer est flagrant. 

Si on prend l’exemple du burger : son prix moyen en France est de 12,02 €. Pourtant, quand on interroge les consommateurs, ils fixent à 9,32 € le prix maximum qu’ils estiment acceptable. Autrement dit, le marché pousse les restaurateurs à proposer des produits de qualité, dans un cadre attractif, tout en serrant leurs prix au plus près. 

Marge en restauration : définition, calcul et chiffres clés

Marge brute VS marge nette : l’essentiel en restauration

Il existe plusieurs types de marges en restauration : marge brute, marge nette, marge commerciale, marge opérationnelle… Mais dans le langage courant, quand on parle de « marge d’un restaurant », on s'intéresse à la marge brute et à la marge nette.

La marge brute permet de savoir si vos prix couvrent correctement le coût des matières premières. Elle sert aussi de base pour piloter votre carte et vérifier si chaque plat contribue réellement à la rentabilité.

La marge nette, elle, intègre toutes les charges : salaires, loyers, énergie, impôts, remboursements de prêts. Elle reflète ce qu’il reste une fois tout payé.

“La marge brute mesure la performance de vos ventes, la marge nette dit si, à la fin du mois, votre restaurant gagne de l’argent.”
En bref

Marge en restaurant : où se situe la moyenne en France ?

La marge brute reste élevée : en moyenne 70 à 75% sur les plats et 85% sur les boissons

Mais une fois toutes les charges déduites, la marge nette tombe très bas. Même si elle varie fortement selon le format :

➜ 2 à 6% pour la restauration traditionnelle,
➜ 6 à 9% pour la restauration rapide,
➜ 7 à 9% pour les bars,
➜ 2,5 à 15% pour les cafés.

On voit bien que la fourchette de « 2 à 6% » souvent citée n’est pas fausse, mais elle cache de gros écarts entre concepts. Un café qui tourne bien peut être bien plus rentable qu’un restaurant avec service à table, malgré un ticket moyen plus bas.

Ce contraste explique pourquoi tant de restaurants ferment alors que leurs salles sont pleines. La marge brute donne l’impression de confort, mais la marge nette, elle, montre à quel point l’équilibre reste fragile.

Marge en danger : les 3 raccourcis à éviter absolument

01. Augmenter les prix : un pari risqué

Face à la hausse des coûts, la tentation est forte de répercuter directement l’inflation sur vos prix. Mais l’élasticité de la demande est réelle : vos clients comparent, arbitrent et n’acceptent pas forcément de payer plus. Un décalage trop marqué avec leur « prix perçu » entraîne une baisse de fréquentation et, à terme, une perte de chiffre d’affaires.

02. Réduire la qualité et/ou la quantité : l’effet boomerang de la shrinkflation

Couper dans la qualité des produits paraît rentable sur le moment, mais c’est un coup porté à votre image. Les clients voient très vite la différence dans l’assiette. Et une fois la confiance perdue, difficile de les faire revenir.

La tentation est parfois de réduire les portions plutôt que la qualité, ce qu’on appelle « la shrinkflation ». Là aussi, l’effet est à double tranchant : le client remarque que son plat est plus petit pour le même prix, et il se sent trompé. Au final, vous économisez sur la matière, mais vous perdez en fidélité et en réputation.

03. Couper dans le personnel : une économie qui coûte cher

Réduire les équipes semble une solution évidente pour alléger la masse salariale. Mais en pratique, c’est un raccourci qui fragilise votre rentabilité, quand le service et la régularité comptent autant que les plats servis.

À cela s’ajoute un autre problème : la pénurie de main-d’œuvre n’est pas conjoncturelle, elle dure depuis plus de 15 ans. Licencier ou réduire les heures, c’est parfois se tirer une balle dans le pied : quand il faudra recruter à nouveau, la tâche sera encore plus difficile et coûteuse.

L’enjeu n’est pas de faire avec moins de monde, mais de permettre à vos équipes de concentrer leur énergie là où elles ont le plus d’impact. Le digital peut prendre en charge la partie mécanique du service (saisie des commandes, gestion des paiements, mise à jour des disponibilités) et libérer du temps pour ce qui ne peut pas être remplacé : créer du lien, conseiller le client et assurer la fluidité du service.

Pizzaiolo de dos préparant des pizzas dans une cuisine de restaurant avec four à bois.

Restauration : comment reprendre le contrôle de sa marge ?

Automatiser les tâches chronophages pour gagner en productivité

Chaque minute perdue sur des tâches répétitives rogne vos marges. Prendre les commandes à la main, encaisser un par un, ressaisir un menu sur plusieurs supports… tout ça  fait perdre du temps aux équipes et réduit le nombre de clients servis. L’automatisation permet de transformer ces minutes en couverts supplémentaires.

➜ Prise de commande : QR code, borne ou commande en ligne réduisent les allers-retours et accélèrent le service. Si un cycle de service passe de 11 à 8 minutes, vous augmentez votre capacité de 25 à 30 % sur les périodes de rush.

➜ Encaissement : le paiement à table supprime l’attente devant le terminal et fluidifie la rotation des tables.

➜ Mise à jour des menus : un seul back-office alimente tous vos canaux (bornes, menus QR codes, Click & Collect, livraison, agrégateurs). Vous évitez les écarts de prix et les articles encore affichés alors qu’ils sont en rupture.

➜ Marketing : les campagnes s’automatisent grâce à des scénarios déclenchés par un nouvel inscrit, un client inactif ou un panier abandonné. Vous ne passez plus des heures à relancer manuellement et vos résultats sont mesurés en temps réel.

“Si un serveur gère en moyenne 20 tables par service, gagner 3 minutes par table lui permet d’en traiter 5 de plus, soit +25% de productivité. Avec un ticket moyen de 19 €, cela représente 95 € de chiffre d’affaires en plus par service et par serveur. Sur 26 jours ouvrés avec 2 services par jour, vous ajoutez 4 940 € de CA supplémentaire par mois, sans embauche ni heures supplémentaires.”
L’impact sur la marge

Réduire les erreurs de commande et les coûts cachés

Chaque erreur pèse directement sur votre marge : un plat refait, un geste commercial et un client mécontent qui ne revient pas. Sans parler du temps perdu en cuisine et en salle. La digitalisation de la prise de commande et de la transmission limite ces fuites invisibles mais coûteuses.

➜ Quand le client saisit lui-même sa commande sur une borne ou via un QR code, il choisit directement les options nécessaires (cuisson, allergènes, suppléments). Le risque d’ambiguïté disparaît et la cuisine reçoit une commande claire et complète.

➜ Côté production, le routage par poste (chaud, froid, bar) avec bons détaillés, chrono et priorisation réduit l’attente et évite les oublis. Chaque plat arrive au bon endroit au bon moment.

➜ La synchronisation automatique entre caisse et agrégateurs met fin aux doubles saisies et aux incohérences entre prix et stocks. Plus besoin de corriger après coup, ce qui évite des écarts de caisse et des erreurs comptables.

➜ Enfin, les contrôles automatiques sécurisent vos ventes : un produit en rupture est masqué partout instantanément et un produit additionnel (par exemple un dessert) n’est proposé que si le stock le permet. Vous vendez mieux, mais surtout vous évitez de décevoir le client avec un « désolé, on n’en a plus ».

“Si vous faites en moyenne 7 erreurs par jour, à un coût estimé de 8 € par erreur (matières premières, temps perdu, geste commercial, etc.), cela représente 56 € perdus quotidiennement. Sur un mois de 26 jours ouvrés, cela monte à 1456 € envolés. En divisant ces erreurs par deux, vous regagnez déjà 728 € de marge nette par mois.”
L’impact sur la marge

Exploiter la data client pour générer plus de récurrence

Un client fidèle, c’est une marge sécurisée : il commande plus souvent, dépense plus à chaque visite et ne coûte presque rien à « réactiver ». Là où l’acquisition est chère et aléatoire, la fidélité est un levier direct et mesurable.

Tout commence par une base client unifiée. Centraliser les informations issues de vos canaux de commande (QR code, borne, Click & Collect, livraison, caisse) permet de construire une base client claire : une fiche par client avec son historique, ses habitudes et ses préférences.

Cette donnée centralisée permet une segmentation utile : nouveaux clients, réguliers, perdus depuis plus de 45 jours, gros paniers, habitués du midi en semaine, clients avec contraintes alimentairesVous parlez à chacun avec un message qui fait sens.

C’est là que les offres intelligentes prennent le relais :

➜ un client inactif depuis 30 jours reçoit une réactivation ciblée
➜ une famille reçoit une offre dédiée pour le week-end
➜ un client gros panier bénéficie d’un avantage premium pensé pour lui

Le programme de fidélité doit être simple et visible.
Les points ou avantages apparaissent directement au moment de commander et la récompense est immédiate, quel que soit le canal utilisé. Pas besoin de cartes physiques ou d’explications compliquées.

Enfin, la data n’a de valeur que si vous la mesurez : taux de réachat, panier moyen par segment, taux d’activation des campagnes… Ces indicateurs vous permettent d’ajuster vos actions et de mesurer leur impact réel sur la marge.

“Avec une base de 8000 clients dont 25% récurrents (2000 personnes), passer à 30% (2 400 personnes) génère 17 600 € de chiffre d’affaires supplémentaire par mois (2 visites à 22 €). À 5% de marge nette, cela représente 880€ nets par mois de plus, sans publicité supplémentaire.”
L’impact sur la marge
Groupe de clients partageant pizzas et boissons dans un restaurant, avec service de plats à table.

Solution digitale tout-en-un : augmentez la rentabilité en simplifiant la gestion

Le problème des abonnements multiples (borne, fidélité, caisse, agrégateurs…)

La digitalisation est devenue incontournable, mais beaucoup de restaurants l’ont construite par « couches » et se retrouvent avec une addition salée. En 2025, le budget moyen qu’un restaurateur consacre à la tech atteint 15 800 € à l’année, selon une récente étude Food Hôtel Tech

Un montant loin d’être négligeable, surtout quand il est éclaté entre plusieurs solutions : une pour les bornes, une autre pour la fidélité, un logiciel de caisse, un CRM marketing, plus les connecteurs pour les agrégateurs.

Vous payez beaucoup, mais vous ne tirez pas tout le potentiel de ces investissements.

Car le problème n’est pas seulement financier. Cela fait autant d’abonnements à payer, d’interfaces à gérer et de temps perdu à passer d’un outil à l’autre.

Les coûts cachés et la perte de données associée

Le problème ne se limite pas aux coûts des abonnements. Ces outils, souvent peu ou mal connectés entre eux, créent des « trous » dans la gestion. 

Chaque outil collecte ses données, mais elles restent cloisonnées. Le fichier client de votre logiciel de caisse ne parle pas à celui du Click & Collect, vos campagnes marketing ne s’appuient pas sur l’historique complet des commandes et vos statistiques sont partielles.

À cela s’ajoutent les coûts indirects :

➜ Temps perdu à saisir la même information dans plusieurs systèmes,
➜ Erreurs quand un produit est encore affiché alors qu’il est en rupture ailleurs,
➜ Opportunités manquées faute d’avoir une vision claire du client ou du stock.

À l’échelle d’un mois et d’une année, ces coûts cachés représentent des heures de travail perdues et des décisions prises sans vision complète. Ce manque de cohérence se traduit par une marge grignotée petit à petit, sans qu’on sache toujours pourquoi.

L’avantage d’un outil centralisé : un back-office unique pour connecter l’ensemble de votre restaurant

Un outil digital tout-en-un supprime les problèmes liés aux solutions éclatées. Une seule plateforme regroupe vos canaux de commande, votre programme de fidélité, vos paiements et vos campagnes marketing

✔ Vous ne payez plus 4 ou 5 abonnements : un seul suffit. 

✔ Vous ne travaillez plus sur plusieurs back-offices : un seul pilote tout. 

Et surtout, toutes vos données client et opérationnelles se retrouvent enfin au même endroit.

Les bénéfices sont immédiats et visibles :

✔ Sur les coûts : un abonnement unique réduit vos charges fixes. Au lieu de voir 15 000 € se diluer dans plusieurs abonnements, vous investissez dans un seul outil et gardez une lecture simple de vos coûts.

✔ Sur la fiabilité : une mise à jour (prix, stock, horaires, menus) s’applique partout en temps réel. Vous évitez les incohérences et vous ne proposez plus de plats en rupture, que ce soit en salle ou en livraison.

✔ Sur la productivité : vos équipes ne perdent plus de temps entre plusieurs interfaces. En un clic, vous masquez un produit indisponible ou vous déclenchez une promo sur tous vos canaux, sans double saisie.

✔ Sur la donnée client : chaque commande, qu’elle soit passée en salle, en ligne ou en livraison, enrichit la même base. Vous construisez une vision claire de vos clients et vous actionnez des scénarios de fidélisation pertinents (relances, upsell, offres ciblées).

Vous ne dépensez pas plus en logiciels, vous exploitez mieux vos ressources et vous renforcez votre marge. En clair, vous passez d’un poste de dépense à un moteur de rentabilité.

Agissez maintenant pour sécuriser votre rentabilité

Vous n’êtes pas seul face à l’équation coûts / clients / rentabilité.

Plus de 1 500 établissements, de la brasserie de quartier à l’enseige multi-sites, ont choisi Obypay pour reprendre le contrôle de leurs coûts et de leur fidélité client.

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L’avenir appartient à ceux qui protègent leurs marges (surtout à nos côtés)

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